Dans un monde où les règlements de copropriété peuvent parfois sembler excessifs, un copropriétaire américain a fait preuve d’astuce pour défendre son droit de planter des tournesols devant chez lui. L’histoire, rapportée par le site américain TwistedSifter, met en lumière les limites des règlements trop restrictifs et la nécessité de faire preuve de bon sens.
Un règlement trop restrictif à l’origine du conflit
Tout commence par un règlement de copropriété interdisant la plantation de tournesols, jugés trop hauts par les autres résidents. Le copropriétaire, désireux de profiter de ces fleurs ensoleillées, décide de contester cette règle qu’il juge absurde. Son avocat, après avoir étudié le règlement, découvre une faille inattendue : la liste des plantes interdites, établie par ordre alphabétique, est loin d’être exhaustive. Si les fruits du dragon y figurent, le maïs, lui, en est absent.
Une stratégie pour le moins originale
Le copropriétaire décide alors de planter une variété de maïs particulièrement haute et inesthétique, poussant la copropriété à réagir. Face à cette plantation inattendue, mais parfaitement autorisée par le règlement, la copropriété se voit contrainte de négocier. Un accord est finalement trouvé : le maïs sera retiré, mais le copropriétaire obtiendra le droit de planter ses précieux tournesols. Une victoire pour le bon sens et la liberté individuelle face à des règles parfois trop rigides.
