Alors que les élections législatives approchent, de nombreux Français s’interrogent sur l’impact potentiel des programmes économiques sur leur patrimoine. Certains contribuables aisés, inquiets de l’augmentation possible de la pression fiscale, envisagent même de quitter la France. La perspective d’une hausse significative de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI), évoquée par certains partis politiques, suscite particulièrement l’inquiétude. Pour ces contribuables, l’IFI est perçu comme un impôt confiscatoire qui pénalise l’épargne et l’investissement. Face à ces incertitudes, certains envisagent de se tourner vers des pays offrant un cadre fiscal plus avantageux, comme l’Italie ou les États-Unis, où les droits de succession et l’impôt sur le revenu sont généralement moins élevés. La fuite potentielle de ces contribuables aisés pose la question de l’équilibre délicat entre solidarité nationale et attractivité du territoire français.