Alors que le marché immobilier français montre des signes de ralentissement, les zones rurales suscitent un intérêt croissant de la part des acheteurs en quête d’un cadre de vie différent. Toutefois, la situation est contrastée et certaines régions rurales subissent une baisse des prix de l’immobilier, tandis que d’autres résistent, voire progressent.
Des disparités régionales marquées
Si certaines zones rurales, notamment celles éloignées des grands centres urbains et des commodités, subissent une baisse de la demande et des prix, d’autres régions tirent leur épingle du jeu. Les secteurs ruraux dynamiques, bien desservis et proches des bassins d’emplois, séduisent de plus en plus d’actifs en quête d’un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
Un marché à deux vitesses
Le marché immobilier rural se caractérise donc par une réelle disparité. D’un côté, les zones rurales en difficulté, où la baisse démographique et le manque d’infrastructures pèsent sur les prix. De l’autre, les zones rurales attractives, où la qualité de vie, la proximité avec la nature et des prix immobiliers encore attractifs attirent de nouveaux habitants et soutiennent le marché.